Dans le Québec des années quarante, des enfants orphelins ou abandonnés sont placés dans un asile d'aliénés. «C'est un film noir parsemé de moments de bonheur dans lequel la misère sous toutes ses formes, physique, intellectuelle et humaine, est présente comme elle l'est dans la vie.» (Claude Jutra)
Nous sommes dans un gigantesque hôpital psychiatrique où des enfants ont été enfermés. Étaient-ils malades? Non, ils n'avaient simplement plus de famille. Pour fuir cet univers opprimant, ils se sont créé un monde parallèle : le sous-sol de l'institution où, dans un labyrinthe de tunnels, ils ont fondé une société autonome, avec ses rites, ses sortilèges. Une jeune fille, Agnès, règne sur ce monde souterrain que les adultes semblent tolérer. Mais un enfant mourant disparaît. On soupçonne les enfants. Entre les deux sociétés, c'est maintenant la guerre... On va fouiller le sous-sol, débusquer les enfants, tenter de leur enlever leur monde. La république des enfants sera anéantie
Titre | La dame en couleur |
An | 1985 |
Genre | Drame |
Pays | Canada |
Studio | |
Jeter | Charlotte Laurier, Gilles Renaud, Paule Baillargeon, Guillaume Lemay-Thivierge, Ariane Frédérique, François Méthé |
Équipage | Claude Jutra (Director), Pierre Lamy (Producer), Claude Jutra (Writer), Louise Rinfret (Writer), Jean Dansereau (Executive Producer), Claire Boyer (Editor) |
Mot-clé | |
Libération | Jan 29, 1985 |
Durée | 111 minutes |
Qualité | HD |
IMDb | 5.50 / 10 par 4 utilisateurs |
Popularité | 1 |
Budget | 1,600,000 |
Revenu | 0 |
Langue | Français |