Austin Powers 1997
Un agent secret des années soixante est sorti du cryofreeze pour s'opposer à son plus grand ennemi des années quatre-vingt-dix, où ses attitudes sociales sont carrément déplacées.
Un agent secret des années soixante est sorti du cryofreeze pour s'opposer à son plus grand ennemi des années quatre-vingt-dix, où ses attitudes sociales sont carrément déplacées.
Un groupe de personnes, sans savoir pourquoi, se retrouve enfermé dans une prison surréaliste, un labyrinthe sans fin constitué de pièces cubiques communicantes et équipées de pièges mortels. Le policier, l’architecte, l’étudiante en mathématiques, la psychologue et l’autiste captifs ne savent qu’une seule chose : chacun possède un don particulier qui, combiné aux autres, peut les aider à s’évader. Au fur et à mesure que la peur grandit, les conflits personnels et les luttes de pouvoir s’amplifient. Il leur faudrait pourtant réussir à s’associer pour échapper à une mort certaine.
Paul (Peter van Eyck) tue sa (très riche) femme dans sa villa italienne et passer passer son meurtre pour un suicide au gaz. Grâce à un masque et un tuba et une cachette secrète, il commet le crime parfait. D’autant que tout le monde croit qu’il était en France au moment des faits. Tout le monde sauf sa belle fille Candy (Mandy Miller), convaincue qu’il a assassiné sa mère, comme son père des années plus tôt. Jean (Betta St. John), son tuteur, l’inspecteur (Grégoire Aslan) et le représentant du consulat britannique Wilson (William Franklyn) pensent qu’elle a perdu la tête. Mais Candy est déterminée à prouver le meurtre.
Un homme qui se fait passer pour champion de tir se fait engager à la fois par une bande de malfrats pour tuer quelqu’un et par la victime pour se protéger de ces malfrats. The 'High Sign' Il y a beaucoup de bonnes trouvailles de gags avec, ce qui n’est pas coutume chez Buster Keaton, certains gags surréalistes (par exemple il dessine à la craie un crochet sur le mur pour pouvoir y accrocher son chapeau). Les malfrats forment une sorte de société secrète qu’il dépeint de façon très satirique (le titre High Sign fait référence au code qu’ils ont pour se reconnaître en eux). Mais le clou de l'ensemble reste la scène de la poursuite à l’intérieur d’une maison bourrée de mécanismes et passages secrets.
Le diabolique docteur Satan, un savant fou qui conduit une armee de robots, prepare une nouvelle fois un plan machiavelique.