Paris, 1985. Vanessa a treize ans lorsqu'elle rencontre Gabriel Matzneff, écrivain quinquagénaire de renom. La jeune adolescente devient la maîtresse et la muse de cet homme célébré par le monde culturel et politique. Se perdant dans la relation, elle subit de plus en plus violemment l’emprise destructrice que ce prédateur exerce sur elle.
Jean Valjean est un bagnard emprisonné pour un simple vol de pain parce qu'il était affamé. Il parvient à s'échapper et sur sa route, il rencontre un homme d'église qui changera sa vie. Il devient peu à peu un homme en vue de la ville où il s'est installé sous un faux nom pour échapper à son passé. La jeune Cosette que les vils Thénardiers exploitent à leur service, est recueillie par Valjean qui en prendra soin quant à son éducation. Mais l'inspecteur Javert, Policier obtus et convaincu que l'âme humaine ne peut changer, reconnaît en Valjean l'ancien détenu et veut à tout prix le compromettre...
Alors qu'ils se rendent à une fête le soir du Nouvel An, deux inconnus se retrouvent coincés dans un ascenseur, où ils finissent par tisser des liens de façon inattendue.
L'histoire de Fantômas, le premier méchant de la modernité, de sa naissance en 1911 comme personnage de roman à ses vicissitudes contemporaines, en passant par Louis Feuillade, André Hunebelle, le surréalisme et Moscou.
Lors de la parution du Comte de Monte-Cristo, Alexandre Dumas a été accusé de plagiat. Pour se défendre, il expliqua avoir tiré son inspiration d'une histoire vraie.
Une analyse de « Les Bienveillantes », le roman controversé de Jonathan Littell, publié en 2006, qui dissèque les mécanismes impitoyables de la Shoah du point de vue détaché de Maximilian Aue, un officier nazi de haut rang.
Paru en 1796 à titre posthume, le roman de Diderot, réquisitoire féministe d'une étonnante modernité, a provoqué la même déflagration dans la France des années 1960, quand Jacques Rivette décide de l'adapter, que dans la France de la Restauration, cent cinquante ans plus tôt.
D'un côte, la Marquise, une veuve qui se dit inconsolable. De l'autre, le Chevalier, décidé à pleurer à jamais l'infidélité de sa maîtresse Angélique. La Marquise et le Chevalier se confient l'un à l'autre. Des épanchements mutuels les amènent à une estime réciproque, à une amitié exclusive puis, sous l'action de la jalousie qu'excite un certain Comte épris de la Marquise, à un amour déclaré.
Dans une déclaration d'amour fou à notre langue, Bernard Pivot raconte la vie d'un homme qui, malgré ses succès de romancier, a toujours eu l'impression d'être mangé par les mots : leur jouet plutôt que leur maître.
